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La jeune fille sans mains
Grimm Märchen

La jeune fille sans mains - Contes des Frères Grimm

Temps de lecture pour enfants: 16 min

Attention : C'est une histoire qui fait peur.

Il était une fois, il y a quelques jours, à l’époque où la farine des villageois était écrasée à la meule de pierre, un meunier qui avait connu des temps difficiles. Il ne lui restait plus que cette grosse meule de pierre dans une remise et, derrière, un superbe pommier en fleur. Un jour, tandis qu’il allait dans la forêt couper du bois mort avec sa hache au tranchant d’argent, un curieux vieillard surgit de derrière un arbre. „A quoi bon te fatiguer à fendre du bois?

La jeune fille sans mains Conte merveilleux

dit-il. Ecoute, si tu me donnes ce qu’il y a derrière ton moulin, je te ferai riche.

– Qu’y a-t-il, derrière mon moulin, sinon mon pommier en fleurs? pensa le meunier. Il accepta donc le marché du vieil homme.

– Dans trois ans, je viendrai chercher mon bien, gloussa l’étranger, avant de disparaître en boitant derrière les arbres.“

Sur le sentier, en revenant, le meunier vit son épouse qui volait à sa rencontre, les cheveux défaits, le tablier en bataille. “ Mon époux, mon époux, quand l’heure a sonné, une pendule magnifique a pris place sur le mur de notre maison, des chaises recouvertes de velours ont remplacé nos sièges rustiques, le garde-manger s’est mis à regorger de gibier et tous nos coffres, tous nos coffrets débordent. Je t’en prie, dis-moi ce qui est arrivé? “ Et, à ce moment encore, des bagues en or vinrent orner ses doigts tandis que sa chevelure était prise dans un cercle d’or. „Ah,“ dit le meunier, qui, avec une crainte mêlée de respect, vit alors son justaucorps devenir de satin et ses vieilles chaussures, aux talons si éculés qu’il marchait incliné en arrière, laisser la place à de fins souliers. „Eh bien, tout cela nous vient d’un étranger, parvint-il à balbutier. J’ai rencontré dans la forêt un homme étrange, vêtu d’un manteau sombre, qui m’a promis abondance de biens si je lui donnais ce qui est derrière le moulin. Que veux-tu, ma femme, nous pourrons bien planter un autre pommier…

– Oh, mon mari! gémit l’épouse comme foudroyée. Cet homme au manteau sombre, c’était le Diable et derrière le moulin il y a bien le pommier, mais aussi notre fille, qui balaie la cour avec un balai de saule.“ Et les parents de rentrer chez eux d’un pas chancelant, répandant des larmes amères sur leurs beaux habits.

Pendant trois ans, leur fille resta sans prendre époux. Elle avait un caractère aussi doux que les premières pommes de printemps. Le jour où le diable vint la chercher, elle prit un bain, enfila une robe blanche et se plaça au milieu d’un cercle qu’elle avait tracé à la craie autour d’elle. Et quand le diable tendit la main pour s’emparer d’elle, une force invisible la repoussa à l’autre bout de la cour. „Elle ne doit plus se laver, hurla-t-il, sinon je ne peux l’approcher.“ les parents et la jeune fille furent terrifiés. Quelques semaines passèrent. La jeune fille ne se lavait plus et bientôt ses cheveux furent poisseux, ses ongles noirs, sa peau grise, ses vêtements raides de crasse. Chaque jour, elle ressemblait de plus en plus à une bête sauvage.

Alors le diable revint. La jeune fille se mit à pleurer. Ses larmes coulèrent tant et tant sur ses paumes et le long de ses bras que bientôt ses mains et ses bras furent parfaitement propres, immaculés. Fou de rage, le diable hurla: „Coupe-lui les mains, sinon je ne peux m’approcher d’elle!“ Le père fut horrifié: „Tu veux que je tranche les mains de mon enfant? – Tout ici mourra, rugit le Diable, tout, ta femme, toi, les champs aussi loin que porte son regard:“ Le père fut si terrifié qu’il obéit. Implorant le pardon de sa fille, il se mit à aiguiser sa hache. Sa fille accepta son sort. „Je suis ton enfant, dit-elle, fais comme tu dois.“ Ainsi fit-il, et nul ne sait qui cria le plus fort, du père ou de son enfant. Et c’en fut fini de la vie qu’avait connue la jeune fille.

Quand le diable revint, la jeune fille avait tant pleuré que les moignons de ses bras étaient de nouveau propres et de nouveau, il se retrouva à l’autre bout de la cour quand il voulut se saisir d’elle. Il lança des jurons qui allumèrent de petits feux dans la forêt, puis disparut à jamais, car il n’avait plus de droits sur elle. Le père avait vieilli de cent ans, tout comme son épouse. Ils s’efforcèrent de faire aller, comme de vrais habitants de la forêt qu’ils étaient. Le vieux père proposa à sa fille de vivre dans un beau château, entourée pour la vie de richesses et de magnificence, mais elle répondit qu’elle serait mieux à sa place en mendiant désormais sa subsistance et en dépendant des autres pour vivre. Elle entoura donc ses bras d’une gaze propre et, à l’aube quitta la vie qu’elle avait connue. Elle marcha longtemps. Quand le soleil fut au zénith, la sueur traça des rigoles sur son visage maculé. Le vent la décoiffa jusqu’à ce que ses cheveux ressemblent à un amas de brindilles. Et au milieu de la nuit elle arriva devant un jardin royal où la lune faisait briller les fruits qui pendaient aux arbres. Une douve entourait le verger et elle ne put y pénétrer. Mais elle tomba à genoux car elle mourait de faim. Alors, un esprit vêtu de blanc apparut et toucha une des écluses de la douve, qui se vida. La jeune fille s’avança parmi les poiriers. Elle n’ignorait pas que chaque fruit, d’une forme parfaite, avait été compté et numéroté , et que le verger était gardé; néanmoins, dans un craquement léger, une branche s’abaissa vers elle de façon à mettre à sa portée le joli fruit qui pendait à son extrémité. Elle posa les lèvres sur la peau dorée d’une poire et la mangea, debout dans la clarté lunaire, ses bras enveloppés de gaze, ses cheveux en désordre, la jeune fille sans mains pareille à une créature de boue. La scène n’avait pas échappé au jardinier, mais il n’intervint pas, car il savait qu’un esprit magique gardait la jeune fille. Quand celle-ci eut fini de manger cette seule poire, elle retraversa la douve et alla dormir dans le bois, à l’abri des arbres.

Le lendemain matin, le roi vint compter ses poires. Il s’aperçut qu’il en manquait une, mais il eut beau regarder partout, il ne put trouver le fruit. La jardinier expliqua: „La nuit dernière, deux esprits ont vidé la douve, sont entrés dans le jardin quand la lune a été haute et celui qui n’avait pas de mains, un esprit féminin, a mangé la poire qui s’était offerte à lui.“ Le roi dit qu’il monterait la garde la nuit suivante. Quand il fit sombre, il arriva avec son jardinier et son magicien, qui savait comment parler avec les esprits. Tous trois s’assirent sous un arbre et attendirent. A minuit, la jeune fille sortit de la forêt, flottant avec ses bras sans mains, ses vêtements sales en lambeaux, ses cheveux en désordre et son visage sur lequel la sueur avait tracé des rigoles, l’esprit vêtu de blanc à ses côtés. Ils pénétrèrent dans le verger de la même manière que la veille et de nouveau, un arbre mit une branche à la portée de la jeune fille en se penchant gracieusement vers elle et elle consomma à petits coups de dents le fruit qui penchait à son extrémité. Le magicien s’approcha d’eux, un peu mais pas trop. „Es-tu ou n’es-tu pas de ce monde?“ demanda-t-il. Et la jeune fille répondit: „J’ai été du monde et pourtant je ne suis pas de ce monde.“ Le roi interrogea le magicien: „Est-elle humaine? Est-ce un esprit?“ le magicien répondit qu’elle était les deux à la fois.

Alors le cœur du roi bondit dans sa poitrine et il s’écria: „Je ne t’abandonnerai pas. A dater de ce jour, je veillerai sur toi.“ Dans son château, il fit faire, pour elle une paire de mains en argent, que l’on attacha à ses bras. Ainsi le roi épousa-t-il la jeune fille sans mains. Au bout de quelque temps, le roi dut partir guerroyer dans un lointain royaume et il demanda à sa mère de veiller sur sa jeune reine, car il l’aimait de tout cœur.

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„Si elle donne naissance à un enfant, envoyez-moi, tout de suite un message.“ La jeune reine donna naissance à un bel enfant.

La mère du roi envoya à son fils un messager pour lui apprendre la bonne nouvelle. Mais, en chemin, le messager se sentit fatigué, et, quand il approcha d’une rivière, le sommeil le gagna, si bien qu’il s’endormit au bord de l’eau. Le diable sortit de derrière un arbre et substitua au message un autre disant que la reine avait donné naissance à un enfant qui était mi-homme mi-chien. Horrifié, le roi envoya néanmoins un billet dans lequel il exprimait son amour pour la reine et toute son affection dans cette terrible épreuve. Le jeune messager parvint à nouveau au bord de la rivière et là, il se sentit lourd, comme s’il sortait d’un festin et il s’endormit bientôt. Là-dessus le diable fit son apparition et changea le message contre un autre qui disait: „Tuez la reine et son enfant.“ La vieille mère, bouleversée par l’ordre émis par son fils, envoya un messager pour avoir la confirmation. Et les messagers firent l’aller-retour. En arrivant au bord de la rivière, chacun d’eux était pris de sommeil et le Diable changeait les messages qui devenaient de plus en plus terribles, le dernier disant: „Gardez la langue et les yeux de la reine pour me prouver qu’elle a bien été tuée.“

La vieille mère ne pouvait supporter de tuer la douce et jeune reine. Elle sacrifia donc une biche, prit sa langue et ses yeux et les tint en lieu sûr. Puis elle aida la jeune reine à attacher son enfant sur son sein, lui mit un voile et lui dit qu’elle devait fuir pour avoir la vie sauve. Les femmes pleurèrent ensemble et s’embrassèrent, puis se séparèrent. La jeune reine partit à l’aventure et bientôt elle arriva à une forêt qui était la plus grande, la plus vaste qu’elle avait jamais vue. Elle tenta désespérément d’y trouver un chemin. Vers le soir, l’esprit vêtu de blanc réapparut et la guida à une pauvre auberge tenue par de gentils habitants de la forêt. Une autre jeune fille vêtue d’une robe blanche, la fit entrer en l’appelant Majesté et déposa le petit enfant auprès d’elle. „Comment sais-tu que je suis reine? demanda-t-elle.

– Nous les gens de la forêt sommes au courant de ces choses-là, ma reine. Maintenant, reposez-vous.“ La reine passa donc sept années à l’auberge, où elle mena une vie heureuse auprès de son enfant. Petit à petit, ses mains repoussèrent. Ce furent d’abord des mains d’un nourrisson, d’un rose nacré, puis des mains de petite fille et enfin des mains de femme.

Pendant ce temps, le roi revint de la guerre. Sa vieille mère l’accueillit en pleurant. „Pourquoi as-tu voulu que je tue deux innocents?“ demanda-t-elle en lui montrant les yeux et la langue? En entendant la terrible histoire, le roi vacilla et pleura sans fin. Devant son chagrin, sa mère lui dit que c’étaient les yeux et la langue d’une biche, car elle avait fait partir la reine et son enfant dans la forêt. Le roi fit le vœu de rester sans boire et sans manger et de voyager jusqu’aux extrémités du ciel pour les retrouver. Il chercha pendant sept ans. Ses mains devinrent noires, sa barbe se fit brune comme de la mousse, ses yeux rougirent et se desséchèrent. Il ne mangeait ni ne buvait, mais une force plus puissante que lui l’aidait à vivre. A la fin, il parvint à l’auberge tenue par les gens de la forêt. La femme en blanc le fit entrer et il s’allongea, complètement épuisé. Elle lui posa un voile sur le visage. Il s’endormit et, tandis qu’il respirait profondément, le voile glissa petit à petit de son visage. Quand il s’éveilla une jolie femme et un bel enfant le contemplaient. „Je suis ton épouse et voici ton enfant.“ Le roi ne demandait qu’à la croire, mais il s’aperçut qu’elle avait des mains. „Mes labeurs et mes soins les ont fait repousser,“ dit la jeune femme. Alors la femme en blanc tira les mains en argent du coffre dans le quel elles étaient conservées. Le roi se leva étreignit son épouse et son enfant et, ce jour-là, la joie fut grande au cœur de la forêt. Tous les esprits et les habitants de l’auberge prirent part à un splendide festin. Par la suite, le roi, la reine et leur fils revinrent auprès de la vieille mère, se marièrent une seconde fois.

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Contexte

Interprétations

Langue

„La jeune fille sans mains“ est un conte des frères Grimm qui aborde les thèmes du sacrifice, de la rédemption et de la résilience. Le récit commence avec un meunier pauvre qui, sans le savoir, vend sa fille au diable en échange de richesse, croyant qu’il n’offre qu’un pommier derrière son moulin. Lorsque le diable revient pour prendre possession de la fille, sa pureté l’empêche d’accéder à elle. Pour que le diable ne puisse plus apparaître, le père, pris de terreur, accepte à contrecœur de couper les mains de sa propre fille.

Malgré cette épreuve atroce, la fille reste courageuse et finit par errer seule dans le monde, cherchant une nouvelle vie. Elle finit par rencontrer un roi qui, séduit par sa bonté d’âme, l’épouse et l’aide à reconstruire sa vie, allant même jusqu’à lui faire des mains en argent. Cependant, le diable continue de semer la discorde en altérant une lettre envoyée par le roi lors d’une de ses absences, ce qui force la jeune reine et son enfant à fuir pour sauver leur vie.

Exilée, la jeune reine est aidée par des figures magiques bienveillantes et trouve refuge dans une forêt, où elle vit simplement pendant sept ans, période durant laquelle ses mains repoussent miraculeusement. Le roi, après avoir découvert la duperie du diable, part à sa recherche. Sa quête dure également sept ans, qu’il passe à errer dans un état de privation spirituelle et physique.

Leurs retrouvailles dans la forêt sont émouvantes: après des années de séparation et d’épreuves, ils se redécouvrent. Le roi, sa reine aux nouvelles mains, et leur enfant, retournent chez eux où ils célèbrent ensemble un second mariage, scellant ainsi leur réconciliation et un nouveau départ.

Ce conte porte un message fort sur la persévérance face à l’adversité, le pouvoir rédempteur de l’amour et la récompense de la vertu. Le récit illustre également la lutte constante entre le bien et le mal, où l’innocence et la bonté finissent par triompher.

„La jeune fille sans mains“ des Frères Grimm est un conte qui explore des thèmes profonds tels que le sacrifice, la rédemption, et la résilience. Lorsque le meunier, acculé par des temps difficiles, conclut un pacte désastreux avec un être mystérieux, il compromet non seulement son avenir mais aussi celui de sa famille. Le choix de privilégier une richesse matérielle éphémère sur le bien-être de sa fille entraîne une série d’événements tragiques.

La fille du meunier incarne la pureté et l’innocence, et malgré les terrifiantes épreuves qu’elle endure, elle s’adapte et surmonte chaque obstacle avec une grâce stoïque. elle devient plus forte par la souffrance, sa pureté intérieure finissant par triompher du mal extérieur et des circonstances adverses. La perte de ses mains symbolise une perte d’agence et de liberté, mais aussi la façon dont elle devient une entité presque mythique, protégée par des forces spirituelles bienveillantes.

Le conte inclut le surnaturel à travers l’esprit vêtu de blanc, qui symbolise la protection et l’espoir. Alors que la jeune fille erre et mendie, une intervention divine guide ses pas vers le jardin du roi, où son destin commence à changer. Le roi, témoin de sa souffrance et de sa résilience, offre une seconde chance à cette âme meurtrie.

La quête du roi pour retrouver sa famille, malgré les mensonges et tromperies du diable, démontre une ténacité et un amour purs, grandissant au-delà des malentendus et des trahisons. La réunion de la famille dans la forêt magique où les mains de la reine ont repoussé conclut le conte sur une note d’espoir, de pardon et de renaissance.

En essence, „La jeune fille sans mains“ n’est pas seulement une fable morale sur les conséquences des choix hâtifs et égoïstes, mais aussi une réflexion puissante sur la force intérieure et la rédemption. Le conte met en exergue l’idée selon laquelle même dans les périodes les plus sombres, il est possible de trouver la lumière et de renaître, transformé et renforcé par les épreuves endurées.

L’analyse linguistique du conte „La jeune fille sans mains“ des Frères Grimm révèle plusieurs éléments intéressants concernant le style narratif, les motifs récurrents et les structures linguistiques propres à ce type de récit.

Le style est typiquement celui des contes de fées: simple, direct, mais riche en symbolisme. Le récit commence par la formule traditionnelle „Il était une fois“, qui situe l’histoire dans un passé indéterminé, propice au merveilleux. Les dialogues sont plutôt succincts, permettant aux actions de prendre le pas sur les paroles et accentuant l’aspect dramatique de l’histoire.

Symbolisme et Thèmes: Le conte est riche en symboles, comme le pommier en fleur et l’échange avec le diable, qui représentent souvent l’abandon de l’innocence ou la tentation. La transformation des biens matériels du meunier peut être vue comme une métaphore des conséquences de céder à la tentation. Le thème du sacrifice est central, avec le père contraint de couper les mains de sa fille. Cela symbolise la perte et la douleur, mais aussi la résilience et la pureté, car même mutilée, la jeune fille demeure protégée par sa bonté intrinsèque. Le motif de la jeune fille aux mains coupées renvoie aussi à des thèmes de transformation et de rédemption. La croissance de ses mains symbolise une renaissance et une purification après des épreuves.

Structure Linguistique: Le récit est divisé en épisodes courts mais intenses, utilisant souvent la répétition pour souligner les actions des personnages, comme la rencontre avec le diable ou les conditions de la jeune fille dans la forêt. Le langage empreint d’éléments fantastiques, comme l’apparition de l’esprit en blanc, joue un rôle central dans la progression de l’histoire en introduisant l’élément surnaturel qui guide et protège l’héroïne.

Personnages: Les personnages sont typiques des contes de Grimm, représentant le bien (la jeune fille, le roi, l’esprit en blanc) et le mal (le diable). Les descriptions sont souvent minimalistes, se concentrant sur des traits essentiels qui accentuent le rôle plutôt que la nature individuelle des personnages. La jeune fille est le modèle d’un protagoniste innocent et souffrant, souvent retrouvé dans les contes, qui passe par une série d’épreuves avant d’atteindre son apothéose.

Langage Émotionnel: Les émotions sont exprimées dans des termes simples mais puissamment évocateurs (la terreur du père, les larmes de la jeune fille, l’amour du roi), accentuant le pathos et l’empathie du lecteur.

En résumé, „La jeune fille sans mains“ est un conte riche en éléments traditionnels et symboles, utilisant un langage simple mais puissant pour explorer des thèmes universels tels que la tentation, le sacrifice, la rédemption et la transformation. Le style linguistique contribue à créer un univers où le réel et le fantastique se mêlent pour transmettre des leçons morales intemporelles.


Information pour l'analyse scientifique

Indicateur
Valeur
NuméroKHM 31
Aarne-Thompson-Uther IndiceATU Typ 706
TraductionsDE, EN, DA, ES, FR, PT, IT, JA, NL, PL, RU, TR, VI, ZH
Indice de lisibilité selon Björnsson33.8
Flesch-Reading-Ease Indice65.4
Flesch–Kincaid Grade-Level8.3
Gunning Fog Indice11
Coleman–Liau Indice9.5
SMOG Indice10.9
Index de lisibilité automatisé7.3
Nombre de Caractères11.926
Nombre de Lettres9.293
Nombre de Phrases128
Nombre de Mots2.162
Nombre moyen de mots par phrase16,89
Mots de plus de 6 lettres365
Pourcentage de mots longs16.9%
Nombre de syllabes3.176
Nombre moyen de syllabes par mot1,47
Mots avec trois syllabes231
Pourcentage de mots avec trois syllabes10.7%
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