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L’ondine de l’étan
Grimm Märchen

L’ondine de l’étan - Contes des Frères Grimm

Temps de lecture pour enfants: 17 min

Il y avait une fois un meunier qui vivait heureusement avec sa femme. Ils avaient de l’argent et du bien, et leur prospérité croissait d’année en année. Mais le malheur, dit le proverbe, vient pendant la nuit; leur fortune diminua d’année en année, comme elle s’était accrue, et à la fin le meunier eut à peine le droit d’appeler sa propriété le moulin qu’il occupait. Il était fort affligé, et, quand il se couchait le soir après son travail, il ne goûtait plus de repos, mais s’agitait tout soucieux dans son lit. Un matin, il se leva avant l’aube du jour et sortit pour prendre l’air, imaginant qu’il se sentirait le cœur soulagé. Comme il passait près de l’écluse de son moulin, le premier rayon du soleil commençait à poindre, et il entendit un peu de bruit dans l’étang. Il se retourna, et aperçut une belle femme qui s’élevait lentement du milieu de l’eau. Ses longs cheveux, qu’elle avait ramenés de ses mains délicates sur ses épaules, descendaient des deux côtés et couvraient son corps d’une éclatante blancheur. Il vit bien que c’était l’ondine de l’étang, et, tout effrayé, il ne savait s’il devait rester ou s’enfuir. Mais l’ondine fit entendre sa douce voix, l’appela par son nom et lui demanda pourquoi il était si triste. Le meunier resta muet d’abord; mais, l’entendant parler si gracieusement, il prit courage et lui raconta qu’il avait jadis vécu dans le bonheur et la richesse, mais qu’il était maintenant si pauvre qu’il ne savait plus que faire.
« Sois tranquille, répondit l’ondine, je te rendrai plus riche et plus heureux que tu ne l’as jamais été; seulement il faut que tu me promettes de me donner ce qui vient de naître dans ta maison.
– C’est quelque jeune chien ou un jeune chat sans doute, » se dit tout bas le meunier. Et il lui promit ce qu’elle demandait.
L’ondine se replongea dans l’eau, et il retourna bien vite, consolé et tout joyeux, à son moulin. Il n’y était pas arrivé encore, que la servante sortit de la maison et lui cria qu’il n’avait qu’à se réjouir, que sa femme venait de lui donner un garçon. Le meunier demeura comme frappé du tonnerre: il vit bien que la malicieuse ondine avait su ce qui se passait et l’avait trompé. La tête basse, il s’approcha du lit de sa femme, et, quand elle lui demanda: « Pourquoi ne te réjouis-tu pas de la venue de notre beau garçon? » Il lui raconta ce qui lui était arrivé et la promesse qu’il avait faite à l’ondine. « A quoi me sert la prospérité et la richesse, ajouta-t-il, si je dois perdre mon enfant? » Mais que faire? Les parents eux-mêmes, qui étaient accourus pour le féliciter, n’y voyaient nul remède.
Cependant le bonheur rentra dans la maison du meunier. Ce qu’il entreprenait réussissait toujours; il semblait que les caisses et les coffres se remplissaient tout seuls, et que l’argent se multipliait dans l’armoire pendant la nuit. Au bout de peu de temps, il se trouva plus riche que jamais. Mais il ne pouvait pas s’en réjouir tranquillement: la promesse qu’il avait faite à l’ondine lui déchirait le cœur. Chaque fois qu’il passait près de l’étang il craignait de la voir monter à la surface et lui rappeler sa dette. Il ne laissait pas l’enfant s’avancer près de l’eau. « Prends garde, lui disait-il; si tu y touches jamais, il en sortira une main qui te saisira et t’entraînera au fond. » Cependant comme les années s’écoulaient l’une après l’autre et que l’ondine ne reparaissait pus, le meunier commença à se tranquilliser.
L’enfant avait grandi, était devenu jeune homme, et on le plaça à l’école d’un chasseur. Quand il eut pris ses leçons et fut devenu lui-même un chasseur habile, le seigneur du village le fit entrer à son service. Il y avait dans le village une belle et honnête jeune fille qui plut au chasseur, et quand son maître s’en fut aperçu, il lui fit présent d’une petite maison: ils célébrèrent leurs noces et vécurent heureux et tranquilles, s’aimant de tout leur cœur.
Un jour, le chasseur poursuivait un chevreuil. L’animal ayant débouché de la forêt dans la plaine, il le suivit, et d’un coup de feu retendit enfin par terre. Il ne remarqua point qu’il se trouvait tout près du dangereux étang, et, quand il eut vidé l’animal, il vint laver dans l’eau ses mains toutes tachées de sang. Mais à peine les avait-il plongées que l’ondine sortit du fond, l’enlaça en souriant dans ses bras humides et l’entraîna si vite que le flot se referma sur lui en jaillissant.
Quand le soir fut venu et que le chasseur ne rentra pas chez lui, sa femme entra dans une grande inquiétude. Elle sortit pour le chercher, et, comme il lui avait souvent raconté qu’il était obligé de se tenir en garde contre les embûches de l’ondine de l’étang et qu’il n’osait se hasarder dans le voisinage de l’eau, elle eut le soupçon de ce qui était arrivé. Elle courut à l’étang, et, quand elle vit près du bord sa gibecière, elle ne put plus douter de son malheur. Se lamentant et se tordant les mains, elle appela son bien-aimé par son nom, mais inutilement; elle courut de l’autre côté de la rive, l’appela de nouveau, adressa à l’ondine les plus violentes injures, mais on ne lui fit aucune réponse. Le miroir de l’eau restait tranquille, et la face à demi pleine de la lune la regardait sans faire un mouvement.
La pauvre femme ne quittait point l’étang. D’un pas précipité, sans prendre de repos, elle en faisait et en refaisait le tour, tantôt en silence, tantôt en poussant de grands cris, tantôt en murmurant à voix basse. Enfin ses forces furent épuisées, elle s’affaissa sur la terre et tomba dans un profond sommeil. Bientôt elle eut un rêve.
Elle montait tout inquiète entre deux grandes masses de roches; les épines et les ronces piquaient ses pieds, la pluie battait son visage et le vent agitait ses longs cheveux. Quand elle eut atteint le sommet de la montagne, un aspect tout différent s’offrit à elle. Le ciel était bleu, l’air tiède, la terre s’abaissait par une pente douce, et au milieu d’une prairie verdoyante et tout émaillée de fleurs était une jolie cabane. Elle s’en approcha et ouvrit la porte; au dedans était assise une vieille en cheveux blancs qui lui fit un signe gracieux. Au même instant la pauvre femme s’éveilla. Le jour était déjà levé, et elle se décida à faire aussitôt ce que lui conseillait son rêve. Elle gravit péniblement la montagne, et elle trouva tout semblable à ce qu’elle avait vu dans la nuit.
La vieille la reçut gracieusement et lui indiqua un siège où elle l’invitait à s’asseoir. « Sans doute tu as éprouvé quelque malheur, dit-elle, puisque tu viens visiter ma cabane solitaire. »
La femme lui raconta, tout en pleurant, ce qui lui était arrivé. « Console-toi, lui dit la vieille, je viendrai à ton secours: voici un peigne d’or. Attends jusqu’à la pleine lune, puis rends-toi près de l’étang, assieds-toi sur le bord, et passe ce peigne sur tes longs cheveux noirs. Quand tu auras fini, dépose-le sur le bord, et tu verras ce qui arrivera alors. »
La femme revint, mais le temps lui dura beaucoup jusqu’à la pleine lune. Enfin le disque arrondi brilla dans le ciel, alors elle se rendit près de l’étang, s’assit et passa le peigne d’or dans ses longs cheveux noirs; et quand elle eut fini, elle s’assit au bord de l’eau. Bientôt après, le fond vint à bouillonner, une vague s’éleva, roula vers le bord et entraîna le peigne avec elle. Le peigne n’avait eu que le temps de toucher le fond, quand le miroir de l’eau se partagea: la tête du chasseur monta à la surface. Il ne parla point, mais regarda sa femme d’un œil triste. Au même instant, une seconde femme vint avec bruit et couvrit la tête du chasseur. Tout avait disparu, l’étang était tranquille comme auparavant, et la face de la lune y brillait.
La femme revint désespérée, mais un rêve lui montra la cabane de la vieille. Le matin suivant elle se mit en route et conta sa peine à la bonne fée. La vieille lui donna une flûte d’or et lui dit: « Attends jusqu’au retour de la pleine lune; puis prends cette flûte, place-toi sur le bord, joue sur l’instrument un petit air, et, quand tu auras fini, dépose-la sur le sable, tu verras ce qui se passera alors. »
La femme fit ce que lui avait dit la vieille. A peine avait-elle déposé la flûte sur le sable, que le fond de l’eau vint à bouillonner; une vague s’éleva, s’avança vers le bord et entraîna la flûte avec elle, bientôt après l’eau s’entr’ouvrit,et non-seulement la tête du chasseur, mais lui-même jusqu’à la moitié du corps monta à la surface. Plein de désir il étendit ses bras vers elle, mais une seconde vague vint avec bruit, le couvrit et l’entraîna au fond. « Ah! dit la malheureuse, que me sert de voir mon bien-aimé pour le perdre encore? »
La tristesse remplit de nouveau son cœur, mais le rêve lui indiqua une troisième fois la maison de la vieille. Elle se mit en route, et la fée lui donna un rouet d’or, la consola et lui dit: « Tout n’est pas fini encore; attends jusqu’à ce que vienne la pleine lune, puis prends le rouet, place-toi au bord, et file jusqu’à ce que tu aies rempli ton fuseau; quand tu auras achevé, place le rouet près de l’eau, et tu verras ce qui se passera alors. »
La femme suivit ce conseil de point en point. Dès que la nouvelle lune se montra, elle porta le rouet d’or au bord de l’eau, et fila diligemment jusqu’à ce que son lin fût épuisé et que le fil eût rempli le fuseau. A peine le rouet fut-il déposé sur le bord, que le fond de l’eau bouillonna plus violemment que jamais; une forte vague s’avança et emporta le rouet avec elle. Bientôt la tête et le corps tout entier du chasseur montèrent à la surface. Vite il s’élança sur le bord, saisit sa femme par la main et s’enfuit. Mais à peine avaient-ils fait quelques pas, que l’étang tout entier se souleva avec un horrible bouillonnement et se répandit avec une violence irrésistible dans la plaine. Déjà les deux fuyards voyaient la mort devant leurs yeux, quand la femme dans son angoisse appela la vieille à son aide, et en un instant ils furent changés, elle en crapaud, lui en grenouille. Le flot qui les avait atteints ne put les faire périr mais il les sépara et les entraîna très-loin l’un de l’autre.
Quand l’eau se fut retirée et qu’ils eurent remis le pied sur un terrain sec, ils reprirent leur forme humaine. Mais aucun des deux ne savait ce qu’était devenu l’autre; ils se trouvaient parmi des hommes étrangers, qui ne connaissaient pas leur pays. De hautes montagnes et de profondes vallées les séparaient. Pour gagner leur vie, tous deux furent obligés de garder les moutons. Pendant plusieurs années ils conduisirent leurs troupeaux à travers les bois et les champs, accablés de tristesse et de regret.
Une fois, comme le printemps venait de refleurir, tous deux sortirent le même jour avec leurs troupeaux, et le hasard voulut qu’ils marchassent à la rencontre l’un de l’autre. Sur la pente d’une montagne éloignée, le mari aperçut un troupeau et dirigea ses moutons de ce côté. Ils arrivèrent ensemble dans la vallée, mais ne se reconnurent point; pourtant ils se réjouissaient de n’être plus seuls. Depuis ce temps-là ils faisaient paître chaque jour leurs troupeaux l’un près de l’autre: ils ne se parlaient pas, mais ils se sentaient consolés. Un soir, comme la pleine lune brillait au ciel et que les moutons reposaient déjà, le berger tira sa flûte de son sac et en joua un air gracieux, mais triste. Quand il eut fini, il remarqua que la bergère pleurait amèrement. « Pourquoi pleures-tu? lui demanda-t-il.
– Ah! répondit-elle, c’est ainsi que brillait la pleine lune lorsque je jouai pour la dernière fois cet air sur la flûte, et que la tête de mon bien-aimé parut à la surface de l’eau. »
Il la regarda et ce fut comme si un voile était tombé de ses yeux; il reconnut sa femme bien aimée; et en la regardant, comme la lune brillait sur son visage, elle le reconnut à son tour. Us se jetèrent dans les bras l’un de l’autre, s’embrassèrent, et s’ils furent heureux, qu’on ne le demande point.

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Contexte

Interprétations

Langue

„L’ondine de l’étang“ est un conte des Frères Grimm qui narre l’histoire d’un meunier qui, par malchance, se retrouve en grande difficulté financière. Dans un moment de désespoir, il rencontre une ondine, un esprit de l’eau, qui lui promet richesse et bonheur en échange de „ce qui vient de naître dans sa maison“. Pensant céder un simple animal, il découvre avoir promis son propre fils, né le même jour.

Malgré la prospérité retrouvée, l’idée d’avoir compromis son fils le hante. Tandis que l’enfant grandit pour devenir un chasseur, l’ondine ne réclame pas sa dette pendant de nombreuses années, mais finit par piéger le jeune homme au bord de l’étang. Désespérée par la disparition de son mari, la femme du chasseur cherche l’aide d’une vieille femme sage, un archétype commun dans les contes. À travers une série d’objets magiques — un peigne d’or, une flûte d’or et un rouet d’or — elle tente de libérer son époux, mais chaque fois elle n’obtient qu’un aperçu, sans parvenir à le sauver complètement.

Le dernier essai avec le rouet d’or mène à la transformation du couple en crapaud et en grenouille pour échapper à l’ondine. Séparés par le destin, ils errent des années en tant que bergers étrangers. Finalement, un air de flûte sous la pleine lune déclenche la reconnaissance mutuelle et la réunification des amants. Ce conte explore des thèmes comme le sacrifice, la ruse des êtres surnaturels, la persévérance de l’amour, et la bienvenue rédemption après une longue série d’épreuves.

„L’ondine de l’étang“ des Frères Grimm est un conte qui illustre plusieurs thèmes classiques des contes de fées, tels que la tentation, les conséquences des promesses imprudemment faites, l’endurance face à la douleur, et la puissance de l’amour. Voici quelques éléments d’interprétation possibles de ce conte :

Le meunier, accablé par la perte de sa fortune, se laisse tromper par l’apparence bienveillante de l’ondine. Sa promesse, faite sans comprendre pleinement les conséquences, montre la tentation humaine de prendre des décisions précipitées lorsque confronté à la désespérance. La tromperie de l’ondine, une créature souvent associée à la séduction et au danger dans les mythes aquatiques, souligne la leçon selon laquelle tout ce qui semble beau et prometteur peut ne pas être ce qu’il semble.

Le Sacrifice et la Conséquence: La promesse du meunier de donner ce qui vient de naître symbolise un sacrifice hâtivement consenti, illustrant les conséquences de nos engagements et les dettes morales qui en résultent. Ce sacrifice hante le meunier tout au long de sa vie, représentant un fardeau symbolique pour ses choix passés.

L’Amour et la Résilience: La détermination de la femme du chasseur à retrouver son époux perdu démontre la profondeur de l’amour conjugal et la résilience face à l’adversité. Malgré les épreuves et les interventions surnaturelles, son amour et sa patience triomphent, signifiant que l’amour véritable est une force puissante capable de surmonter les obstacles les plus insurmontables.

Métamorphose et Identité: La transformation du couple en grenouille et en crapaud est un élément de métamorphose fréquent dans les contes de fées, soulignant comment les épreuves peuvent transformer les individus. En fin de compte, leur retour à leur forme humaine symbolise la restauration de leur véritable identité et le renouveau après une période de perte et de confusion.

Symbolisme de la Nature et du Surnaturel: L’étang et les créatures qui l’habitent représentent les forces mystérieuses et incontrôlables de la nature. L’ondine, en tant qu’habitante de l’eau, représente l’inconnu et l’incontrôlable, un rappel des limites humaines face aux éléments naturels.

Dans ce conte, comme dans beaucoup d’œuvres des Frères Grimm, l’interplay entre les éléments magiques et le parcours psychologique des personnages offre une réflexion sur la condition humaine, la moralité et la capacité humaine de surmonter les épreuves par l’amour et la détermination.

L’analyse linguistique du conte des Frères Grimm, „L’ondine de l’étang“, révèle plusieurs éléments intéressants qui caractérisent le style et les thématiques des contes de Grimm. Ce conte, comme beaucoup d’autres, s’inscrit dans une tradition orale germanique riche et utilise divers procédés narratifs et linguistiques qui lui confèrent sa profondeur et sa pertinence symbolique.

Structure narrative: Le conte suit une structure typique avec une introduction, un développement et une résolution. Il commence par un cadre de prospérité, une descente dans le malheur causée par la transgression d’un pacte, et se termine par une réconciliation heureuse. Cette structure soutient une progression dramatique classique dans les contes folkloriques.

Symbolisme: Les éléments symboliques sont abondants. L’eau représente souvent un monde caché ou inconnu et ici elle est associée à l’ondine, une créature mythique. Le pacte avec l’ondine symbolise les conséquences du désir humain pour la richesse immédiate et son lien avec le monde surnaturel. Les objets magiques (le peigne d’or, la flûte d’or, le rouet d’or) symbolisent chacun une étape du processus de rédemption et de résolution.

Thèmes: Le conte exploite des thèmes classiques tels que le bien contre le mal, la tentation et la rédemption, ainsi que les conséquences des actes humains. On y retrouve aussi l’idée de transformation, littérale et métaphorique, notamment lorsque les protagonistes sont changés en animaux, puis retrouvent leur forme humaine.

Caractères et archétypes: Les personnages sont souvent archétypaux. Le meunier avide représente la faiblesse humaine ; sa femme symbolise la fidélité et le dévouement, tandis que l’ondine personnifie le pouvoir des forces naturelles et leur indifférence envers le destin humain.

Langage et style: Le langage est simple, caractéristique des contes oraux où l’accessibilité prime. La répétition („rouet d’or“, „peigne d’or“, „pleine lune“) est un outil stylistique souvent utilisé dans les contes pour favoriser la mémorisation et renforcer le symbolisme. L’emploi de dialogues directs ajoute de la vivacité au récit et aide à établir la psychologie des personnages.

Morale implicite: En creux, le conte délivre une morale sur les dangers de l’avarice et l’importance d’honorer ses promesses, tout en soulignant la possibilité de rédemption par l’amour et la persévérance.

En somme, ce conte des Frères Grimm offre une illustration riche des thèmes universels de la tentation, de la perte, et de la réconciliation, tout en employant un style narratif et linguistique qui lui assure sa place durable dans la tradition du conte.


Information pour l'analyse scientifique

Indicateur
Valeur
NuméroKHM 181
Aarne-Thompson-Uther IndiceATU Typ 313 & 316
TraductionsDE, EN, DA, ES, FR, PT, HU, IT, JA, NL, PL, RU, VI, ZH
Indice de lisibilité selon Björnsson42.2
Flesch-Reading-Ease Indice57.6
Flesch–Kincaid Grade-Level10.3
Gunning Fog Indice13.4
Coleman–Liau Indice10.6
SMOG Indice12
Index de lisibilité automatisé9.9
Nombre de Caractères4.905
Nombre de Lettres3.853
Nombre de Phrases42
Nombre de Mots860
Nombre moyen de mots par phrase20,48
Mots de plus de 6 lettres187
Pourcentage de mots longs21.7%
Nombre de syllabes1.306
Nombre moyen de syllabes par mot1,52
Mots avec trois syllabes112
Pourcentage de mots avec trois syllabes13%
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